nouvelle maison , nouvelle vie........[pv : Mina Lee]

Akira s'était lévé tôt ce jour là.Il était si content d'avoir réussit à avoir trouvé un appartement et surtout un post de professeur dans la matière qu'il affectionne le plus,l'art.

Enfin il allait pouvoir exercer le plus librement du monde à sa passion!Dire que ses parents voulait qu'il reprenne l'entreprise familiale,quelle horreur!Rester assis toute la journée ne lui disait rien du tout.Il voulait faire partager aux autres élèves sa passion pour l'art et plus spécialement la peinture.

C'est alors qu'après être passé au lycée où il venait d'être embauché,il se rendit dans ce qui sera sa futur demeure.N'ayant pas beaucoup d'argent il fut obliger de prendre un appartement avec colocataire.Il était habllé de façon décontracté,une chemise bleu et un pantalon noir.

Il n'avait jamis encore vu sa colocataire mais ils s'étaient déjà parler un peu au téléphone.Néemoin il ne savait pas grand chose à part que c'était une fille ,qu'elle allait au lycée où il avait été lui-même embauché.Ah oui,il savait son nom aussi,Mina Lee.Plus il répétait ce nom et se prénom et plus il trouvait cela magnifique ,avec une belle sonorité.

C'était encore la belle saison , il faisait chaud ,une légére brise souflait.Akira marcha du pas calme, il admirait la ville où il alait habitait maintenant.Il adorait cette ville ,il trouvait qu'elle respirait le bien-être et la joie de vivre.Il avait eu la même impression en entrant dans le lycée tout à l'heure.

C'est de bonne humeur qu'il arriva devant l'appartement.Il prit l'ascenseur direction le première étage.Une fois arrivée Il alla sonner à la porte marquer du numéro 1 .On entendit des bruit de pas puis la porte s'ouvrit............

Mina était persuadée. Le soleil la narguait. Il se plaisait bien à lui rabattre son ciel clair et dénudé de nuage sur la tête. Elle voulait qu'il pleuve. Mais le temps s'était visiblement ligué contre elle.

Elle avait souvenir de ses jours ou tout semblait bien aller. Mais ce matin-là. c'était bien le contraire. Elle s'était réveillée en réalisant qu'elle commencait la réhadaptation dans quelque jours seulement. Ici, ils avaient espoir de la faire marcher à nouveau un jour. Mais pourtant, malgré cette bonne nouvelle, elle se sentait morose.

Les médecins lui disait que c'était normale qu'elle se sente en colère pour rien. Parce qu'elle devait apprendre à accepter le fait qu'elle était blesser. Les blessures physiques avait déjà commencer à se refermé, la preuve était ses points d'une blessure sur la jambe qui avait tombé dans la douche ce matin la.

Elle avait porté un attention particulière à comment elle s'était habiller ce jour la. Ses cheveux noirs avaient une allure soyeuse quand ils bougeaient. Ils tombaient loussememt sur les épaules de la jeune femme. Elle portait un chandail col roulé malgré la chaleur accamblante. Elle ne voulait pas que l'on voit la grande cicatrice qui ornait maintenant ses bras. Et puis ses jambes aussi étaient cachée par une paire sombre de pantalons noirs.

Mina attendait quelqu'un même si l'état de la pièce dans la quelle elle se trouvait ne portait pas à croire une telle chose. Elle était dans un espèce d'atelier où il y avait des toiles, des partitions de musique toutes à demi-terminé. Et puis elle se débrouillait de son mieux dans la pièce avec son fauteuil roulant. Elle essayait de mettre de l'ordre dans ses affaires. Faire le ménage l'aidait à chasser sa terreur.

Elle allait vivre avec un homme. Et cela lui fouttait une peur bleu. Sa voix avait beau être douce et calme. Mina était terrorisée. Elle entendit cogner à la porte et elle senti son coeur cesser de battre brusquement. Elle ne voulait plus. Mais pourtant, voilà qu'elle se roulait, même si ses mains étaient en feu, vers la porte. Il faudrait qu'elle pense à s'acheter des gants. Pour toutes les fois ou elle se servirait de son maudit fauteuil.

Sa main se posa sur la poignée. Devait-elle vraiment ouvrir la porte? Qu'est ce qui lui oubligeait après tout? Si l'homme était comme son père? Comme les hommes qui l'avait clouée à sa chaise roulante? S'il était aussi méchant, aussi cruel? Comment Mina, qui était rendu au fond du gouffre, réussirait à s'en sortir? Comment affrontrerait-elle encore les foudres d'un homme?

Sa main tourna lentement la clef qui débarait la porte. Qu'allait-il lui faire? Serait-il gentil? Et s'il était comme les autres? S'il était différent? S'il réussissait à lui faire vaincre cette peur des hommes? Cette méfiance envers les hommes. Elle ouvrit lentement la porte en se découvrant un peu. Elle regarda l'homme avec un oeil triste.

Bonjour, entrez...

Quand il l'a vut Akira ne put s'empécher de rougir.Elle avait un tel charme,impossible de rester indiferrent.Elle avait de long cheveux noir corbeau . Il ne put pas passer à coté aussi qu'elle était en fauteuil roulant.

Une fois à l'intérieur,il examina curieusement la piéce du regard.Tout l'appertement était équipé pour handicapé.La décoration était plutôt froide et classique.

L'appartement était plutôt grand,il esperait avoir un peu de place pour poser son chevalet quelque part.

Il s'avançat vers la jeune fille et lui fit son sourire le plus chaleureux tout en lui tendant la main.

Je m'apelle Akira Mell.Enchanté.Je suis professeur d'art plastique.

Après que la fille se soir présenter et qu'il lui est serre la main.Celle-ci lui fit visiter la maison.Puis enfin sa chambre.Il posa sa valise et s'approcha une dernière fois de la fille pour lui dire ,toujours avec le même sourire.

Si tu as besoin d'aide pour quelque chose n'hésite pas.

La jueune fille avait l'ai sympathque mais on sentait une certaine tristesse en elle.Il finit par ajouter:

Juste pour remarque,je te trouve très belle.

Il repartit en direction des ses valises et comença à ranger ses affaires.Après avoir fait cela il sortit ses pinceau et commença à peindre.Il voulait peindre un coucher de soleil.

Mina étouffa au plus profond d'elle cette envie de lui hurler de partir. Tout ce qu'elle avait vécu au cours de ses trois dernières années de vie lui était revenu en bourrasque. Elle voulait oublier tout cela. Elle devait tout oublier. Mais chaque fois que son regard croisait celui d'un homme, elle l'associait à un de ses clients ou à son beau-père.

Mina avait bien l'intention de vaincre cette mauvaise habitude un jour. Mais quand était une autre question. Elle regarda le jeune homme avec un sourire. Elle savait que l'ordre de son appart laissait plutôt à désirer. Mais fallait pas trop lui en demander.

Mina recula en le voyant avancer. Mais quand elle s'apercu que ce n'était que pour lui serrer la main, elle avanca et lui serra la main, en réprimant une grimace de douleur.

Mina ferma les yeux en essayant de calmer son coeur qui battait la chamade dans son corps. Elle essayait de ne pas avoir peur de l'homme. D'une toute petite vois, elle se présenta.

- Je suis Mina Lee. J'ai dix-huit ans et je suis en 2e années...

Mina lui fit visité tout la maison... enfin... presque tout l'appartement. Elle évita de manière systématique sa propre chambre et une autre chambre verrouillée à clef qu'elel gardait au cas ou elle choisirait de ne pas avorter. Parce que Mina était enceinte de son viol.

- Et si vous avez besoin d'aide faites de même.

Murmura-t-elle éffacée parce qu'elle avait peur et parce qu'elle était encore horrifiée par cette image qui venait de lui traverser l'esprit...

- Vous m'aideriez beaucoup en ne passant pas de commentaire sur mon physique...

Murmura-t-elle en fermant les yeux. Elle lui tourna rapidement le dos parce qu'elle sentait les larmes lui venir aux yeux. Combien de fois lui avait-on dit qu'elle était belle. Combien d'homme lui avait fait accroire qu'elle était merveilleuse parce qu'elle était une danceuse?Elle avait mal et elle avait trop d'orgeuil pour pleurer devant son nouveau colocataire. Elle avait tellement envie de lui hurler que sous ses chandails, elle était laide. Il le découvrirait. Mina frappa sans faire exprès le cadre de la porte en sortant de la pièce. Elle sentit du sang couler le long de sa jambe. Un point avait réouvert. Son pantalon était déjà assombrit par le sang. Elle étouffa un petit sacre dans son coté.

Akira voyait avec un certain étonnement que le compliment qu'il lui avait fait sur sa beauté ne lui avait pas plus.Il peu vexé il répondit d'un ton sexe et froid.

C'était un compliment,je suis désolé que cela vous ait offensé.Je ne recommencera plus.

Quand même ,cela se voyer bien qu'elle ne respirait pas la joie de vivre.C'était surement normal était en fauteuil roulant mais il y avait surement autre chose pour qu'elle soit si las de tout.Akira aurait voulut l'aider un tant soit,lui remonter le moral mais en même temps il ne voulait pas se méler de sa vie privé.

Il réfléchissait tout en sortant sa pallete de peinture.Il lui aurait bien proposé de jouer le modèle mais il changea d'idée se doutant qu'elle préfererait surement être seul.

Il avait tout sortit et s'apppreter à choisir les couleurs pour sa peinture quand il entendit un grand bruit.Il tourna vivement la tête et là,il vit Mina qui faisait lachait de petit cris étouffés.

Il acourut vers elle et c'est là qu'il vit son pantalon tacher de sang.Ayant tout de suite les bon reflexe,il appella l'hopital pour qu'il envoie d'urgence une ambulance.

Pendant ce temps là il alla prendre sa trousse de premier soin et commença par faire un blessure.C'était pas très efficace mais sa suffirait jusqu''a l'arrivée des secours.

Il la regarda dans les yeux et lui dit avec une voix douce et rassurante:

Ne t'inquiète pas,les secours vont bientôt arrivée.

Deux minutes après ont entendit les ecours arrivée.Il sonnèrent à la porte,Akira vint leur ouvrir.Deux hommes entrèrent avec un brancard où il y mirent Mina.

Akira monta avec eux dans l'arrière de l'ambulance,au coté de Mina.

Il était vraiment inquiet,il ne supportait pas voir quelqun blessé.

Mina n'était pas offensée. Elle était brisée... c'était différent. On n'avait cesser de se jouer d'elle. Alors quand on parlait de son allure physique. Il fallait bien qu'elle arrive à oublier. À quel point on l'avait fait souffrir.

- On a trop souvent abusée des compliment avec moi avant de me blesser. Je suis comme morte à l'intérieur.

Mina avait murmurer. Des souvenirs lui étaient revenue en tête. Des bribes de douleur. Elle avait mal vu. Elle voyait son père qui s'approchait dangeureusement en lui disant à quel point elle était belle. À quel point sa peau était douce. Elle résistait. Il la frappait en lui disant qu'elle devait lui obéir. Elle n'avait pas le choix.

Mina sentait présentement le sang coulé le long de sa jambe. Elle essayait de contenir cette peur de retourner à l'hôpital. Étouffant une autre lignée de jurons profanant l'église catholique et les bordels dans lesquels elle avait vécu.

Elle le vit accourir à son chevet. Elle essaya de bredouiller qu'elle avait habitude. Que tout ses points n'étaient pas encore refermés et qu'il était normal qu'il ouvrent pour un rien. Rien à faire... Il courut vers le téléphone composant le numéro de la centrale d'urgence. Il ne pouvait pas comprendre.

Elle le vit remonter le bas de son pantalon avec horreur. Un cri entre ses lèvres. Elle était horrifiée et terrorisée. Qu'allait-il lui faire après avoir dénudé sa jambe. Il y avait dans ses yeux cette flamme sauvage.

Il pansa la plaie sur la jambe malgré les nombreux jurons qui s'échappait sans fin de la bouche de l'adolescente. Il était hors de question qu'il ne la touche plus loin. Jamais elle n'accepterait encore.

Elle ferma les yeux réprimants sa colère. Elle lui en voulait d'avoir appeller l'hôpital. Tout ce qu'il allait faire, c'était la réexpédier à l'hôpital. Elle était partie sans en avoir le droit.

- Laissez-moi partir. Je veux pas retourner à l'hôpital. Je veux pas.

Mais il ne la laissa pas partir. Même si des larmes brûlante coulaient maintenant sur ses joues. Même si elle hurlait avec vigeur qu'elle ne voulait pas. Elle avait tellement peur. Dans ses yeux, il y avait cette peur. Elle avait l'air d'une enfant. Ses grands yeux l'implorait de ne pas lui faire cela. Elle ne voulait pas. Mais pourtant deux ambulanciers les mêmes qui l'avait ramasser après son viol était arrivé et l'avait installée sur un brancard même si elle avait mordu jusqu'à sang la main d'un des deux ambulanciers qui l'avait soulever pour la coucher sur la civière.

- Toujours dans le même état. Mais au moins, cette fois ci, on a pas de chance de perdre son coeur...

Murmura l'un de deux ambulancier qui avait la main en sang. Mina avait des yeux paniqués. On allait prévenir son père. Il reviendrait la chercher. Elle ne voulait pas retourner à la maison. Elle voulait vivre encore. Libre même si elle était en fauteuil roulant. Même si sa vie était un enfer à cause de ses souvenirs. Même si sa vie était une immense bataille contre elle même.

Mina brisa le silence qui s'était installer entre elle et son nouveau colocataire. Ses yeux brillaient d'une rage tueuse. Elle avait tellement de rage.

- Vous n'auriez jamais du appeller. Jamais. Ils vont m'enfermer. Ils vont m'interner. Ils me laisseront plus jamais partir. Vous le savez.

Akira ne comprenait pas pourquoi elle était aussi froide avec lui,lui qi faisait son tout son possible pour être le plus gentil et amical possible,il aurait bien voulut la voir sourire,ilne supportait pas voir des personnes aussi triste et renfermé.

Une autre chose l'inquièta,il voyait qu'elle était terrosisé à l'idée d'aller à l'hopital.Akira avait beai la rassure de sa voix douce qu'elle n'avait rien a craindre,que tout allait bien se passer,il l'a voyait toujours se débattre comme prise de folie.Mais elle n'était pas folle,il devait bien avait uen raison à cette si grande peur.

Akira il réfléchit longuement jusu'a trouver a cause possible pour lesquel elle avait si peur de l'hopital.

C'est pour tes parents n'est-ce pas?Si tu veut je m'arangerait avec eux pour qu'il ne les appelent pas.

Il la regarda d'un air profondement désolé.

Je suis soncérement désolé pour ça,tu aurais du me le dire plus tôt,je ne voulait pas te faire soufrir.

Tout le trajet fut calme,apparemment elle avait l'air de s'être un peu calmé.Akira ne savant pas trop quoi faire finit par dire:

Tu sais,tu n'a pas à avoir peur de moi,je ne te ferais jamis du mal.Et.....Si tu as besoin de parler,tu peut venir me voir quand tu veut,je serait tout ouie.

L'ambulance s'arreta puis il sortir Mina.Une fois dans la salle,Akira attendit dehors pendant qu'il recousait le point qui sétait défait.

Une fois le médecin sortit Akira lui demanda de ses nouvelles.Cela c'était bien passé.Puis Akira lui demanda de ne pas appeler ses parents.Le medecin aqiesca et Akira entra dans la pièce pour annoncer la bonne nouvelle à Mina.

Mina,j'ai une bonne nouvelle pour toi.J'ai réussit à convaincre le médecin de ne pas appeler tes parents.Tu peut rester içi à te reposer tranquilement.

Il prit une chaise et s'assit à coté du lit de Mina.

Mina s'était présentement emmuré dans un silence de glace. Plus aucun son ne sortirait de sa bouche. Il n'avais pas le droit. Elle ne voulait pas. Son âme entière était dédier à la méchanceté et le jeune homme allait bientôt le découvrir. Il s'était sans le savoir engager dans un sentier battu.

Non, ce n'était pas ses parents... c'était bien au-delà d'un père abusif et d'une mère aujourd'hui décédée. C'était au delà de ses frères et soeurs qui riaient de bon coeur du haut de leur jeune age. Mina avait dix-huit ans et elle se sentait morte à l'intérieur. C'était tellement au dela de toute sa famille. C'était son ancien métier... C'était son viol et ses coups de poignards. C'était cette peur qu'il apprenne que sa colocataire était enceinte. Après tout, il était un prof d'art.

Mina avait honte. Oui! Honte. Elle ne voulait pas qu'ils sachent. Elle ne voulait pas que les autres sachent toutes l'horreur qu'il y avait dans sa vie. Son passé de danseuse. La drogue. Sa mère... Elle ne voulait pas! Que tout recommence.

À cet instant précis. Mina saisit avec vigeur le bras de l'enseignant. Elle aurait crier si des larmes n'auraient pas jait de ses yeux. Elle aurait hurler sa peine s'il n'avait pas continuer de parler. Elle lui serra la main jusqu'à lui faire mal. Qu'il souffre lui aussi. Qu'il souffre autant qu'elle, elle, pauvre petite fille abandonner et désabusée de la vie avait souffert. Des larmes ruissellaient de ses joues... Elle hurla en un grand cri.

- Vous pouvez pas comprendre... Vous pouvez pas! Comme tous les hommes. Vous pouvez rien savoir de ce que j'ai vécu.

Hurla-t-elle alors que l'ambulance freinait comme par Miracle. Non, Elle ne S'était pas calmer. La vengance était un plat qui se mangeait froid...

Ils la roulèrent en salle d'oscultation ou son médecin traitant refit son point en essayant de contourner les nombreux coups de poings que la jeune femme lancait au personnel.

- Ne me touchez pas! Lachez-moi! Laissez-moi partir... Vous ne me garderez pas prisonnière. Je vais partir encore.

Ses cris résonnaient dans la salle d'attente. Encore. Oui. Fuir. Fuir ou mourir. Rien ne valait la peine d'être vécu sans l'usage de ses jambes que l'on refusait de lui redonner. Elle avait perdu le gout de vivre. Perdu, envolé, disparu. Comme ses trois autres bébés. Le médecins les avaient pris. Ses gosses à elle. Ses morveux d'amour.

Il était maintenant assis à son chevet et Mina était prise dans une colère silencieuse. Elle lui lanca un regard noir. Tellement de haine et de mépris dans ce regard. Tant de colère et de hargne.

- Je ne veux pas rester ici. Mille fois plus la mort que de rester en prison. Je veux partir. Je me fous de mes parents... Je n'en aie plus. Ramenne moi chez moi!

Des larmes coulaient silencieuses le long de ses joues. Le regard implorant et la voix tremblante, elle avait parler. Ne pas rester enfermer. Plutôt mille fois la mort....

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