Sombre Nuit [ Ayubi]

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Ils marchent ainsi lentement, vers les appartements, collé l’un a l’autre, tout deux marqués par cette soirée, qui ne pourras que rester dans leurs esprit. Pour Gabriel parce qu’il venait de la rencontrer d’abord, mais aussi parce qu’il avait assommé un homme… et puis il y avait aussi une sorte de serment qu’il lui avait fait, celui de l’aider, de la défendre. Pour Ayubi, la soirée avait été plus rude encore, elle avait faillit être violé, et avait déclaré a un inconnu qu’elle avait été violé, pas très simple comme soirée. M’enfin, ce qui ne tue pas, rend plus fort…

Ils arrivent rapidement dans les immeubles, entrant dans un, il arrive devant la porte de l’appartement de Gabriel. Un coup de clés, et la porte s’ouvre, dévoila un appart tout de même luxueux. L’entré mène directement sur un salon, grand, meublé de manière jeune, un canapé de cuir noir confortable, une télé a écran plat, un table basse en verre. Il y a des finances derrière tout ça, il faut l’accorder. Il guide d’ailleurs la jeune femme jusqu’au canapé, lui intimant de s’assoire.

- J’reviens dans trois secondes.

Souriant légèrement il caresse sa joue, se mordant légèrement la lèvre avant de s’éloigner d’elle, se dirigeant vers la cuisine. Il farfouille un peu les placard, chauffe de l’eau, et revient quelques minutes plus tard armé d’une tasse fumante de tisane qu’il offre à la belle étudiante, dédiant en plus du thé un sourire radieux et sympathique.

- Bois ça, c’est bon pour le moral, et ça te fera le plus grand des biens, j’vais essayer de ranger un peu

Et après un sourire offert une fois de plus, et un clin d’œil, il se dirige vers la chambre, s’arrêtant devant la porte avant de montrer du doigt la pièce de laquelle il venait de sortir.

- Si t’as faim, c’est la cuisine, doit y avoir des truc a grignoter dans les placard, fais comme chez toi.

Il lui adresse un simple signe de main, avant de disparaître dans la chambre, qu’il met en ordre, Gabriel ayant une tendance a étaler ses affaire un peu partout autour de lui. Il range ainsi un peu tout, et profite même de ça pour se changer, abordant un simple short large et long, ainsi qu’un t-shirt cent fois trop grand pour lui.

- Heu… c’est rangé… pour les affaire pour dormir, j’ai pas grand-chose pour fille… enfin rien du tout même.

Ayubi resta collé à lui tout le long du chemin. Elle ne voulait pas le laisser aller trop vite pour rester le plus longtemps avec lui et pas trop lentement car il commençait à faire froid. Elle était agrippée à lui avec une douceur et toujours une pointe de peur mais cela se faisait ressentir de moins en moins. Elle le suivait tranquillement jusqu’à l’arrivé devant un immeuble assez chique. Ils entrèrent alors dans le bâtiment et arrivèrent devant la porte de son appartement. Ayubi n’allait pas s’étonner pour ce qu’il contenait car connaissant la fortune de Gabriel, l’appartement devait être que trop bien meublé. Et ce fut le cas, car entrant dans l’appartement, elle put avoir une vue admirable sur le salon qui était constitué d’un canapé de cuir noir, d’une télé écran plat, d’une table en verre et elle en passe. Elle fut accompagnée jusqu’au canapé ou elle s’installa après qu’il lui ait proposé en lui disant qu’il revenait, tout en se mordant la lèvre. Ce qui fit réagir Ayubi de la même manière, en se mordant légèrement la lèvre inférieure.

Attendant sagement à sa place, elle regardait simplement les portes qu’il y avait dans l’appartement, se demandant laquelle était la chambre mais se fut très vite qu’elle allait le découvrir car lorsque Gabriel lui tendit un thé qu’elle accepta, elle lui fit également un sourire qui commençait à se rapprocher du radieux et de celui qu’elle avait avant. Le sourire de Gabriel était tellement angélique pour Ayubi, elle adorait le voir marqué sur son visage car cela faisait rayonner la pièce d’une humeur joyeuse. Elle se sentait bien dans cet appartement et surtout en compagnie de Gabriel. Surtout en compagnie de Gabriel. En tous cas, elle était touchée par les petites attentions qu’il avait à son égard. Le thé, les sourires, le clin d’œil, tous ce qu’il pouvait bien faire lui faisait oublier ce qui s’était passé et la rendait de plus en plus heureuse. Cette joie qui l’envahissait petit à petit se voyait de minute en minute avec un sourire qui se faisait de plus en plus marqué.

Elle le vit sortir de la chambre et lui dire que si elle désirait manger, elle pouvait se servir mais ce n’était pas le genre à Ayubi. Elle préférait boire tranquillement son café et ranger sa tasse dans le lave-vaisselle ou l’évier. Elle n’aimait pas fouiller dans les placards des ôtes, elle trouvait cela mal polie et surtout dérangeant. Mais ayant fini son thé, elle put voir Gabriel sortir avec un short long et large avec un tee-shirt bien trop grand pour lui et cela amusa Ayubi qui eut un léger rire. Lui disant qu’il n’avait rien, Ayubi s’approcha de lui et laissant la tasse sur la table de verre et passa délicatement ses mains sur les joues de Gabriel, tandis que l’une d’elle passa derrière son cou. Elle se mit sur la pointe des pieds et l’embrassa sans gêne et avec envie. Cela faisait trop longtemps qu’elle ne l’avait pas embrassé que ses lèvres lui manquaient. Le regardant droit dans les yeux, elle lui demanda :

- Tu n’aurais pas une chemise à toi à me prêter pour la nuit ? Sinon je peux dormir en sous-vêtement si cela ne te dérange pas…

Elle ne le lâchait pas du regard, se sentant bien trop en sécurité dans les bras de Gabriel.

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A mesure que les minutes défilent, Ayubi semble de plus en plus souriant,e chose qui est fortement importante pour Gabriel. Ses sourires ses clin d’œil, et tout ces petits geste amicaux avaient payés, Ayubi semblait aller bien mieux, et c’était plaisant pour Gabriel. Ainsi, il va s’occuper de la chambre, après lui avoir servit un hé, et lorsqu’il ressort, changé et en déclarant qu’il ne peut pas lui preter de vêtement féminin pour dormir.

Elle se glisse vers lui, passant ses mains autour de son cou, se collant lui, et une nouvelle fois, leurs lèvres se pressent l’une l’autre dans un baiser simple, mais qui semble exploser d’envie, chez l’un, comme chez l’autre. Le jeune homme laisse ses mains se poser dans le dos de la belle étudiante, plantant son regard dans le sien alors qu’elle lui demandait s’il avait une chemise a lui prêter, ou que s’il ne pouvait pas lui passer ça, bah elle dormirait en sous vêtements.

Il dépose ainsi une légère bise sur ses lèvres, s’éloigné d’elle a contrecoeur, pour entrer dans la chambre, et ouvrir l’armoire à la recherche d’une chemise, et il fouille pendant quelques temps avant de ressortir l’objet tant recherché. Sortant la chemise, il s’approche de Ayubi, comparant le vêtement, avec la taille de la belle étudiante. Mouais, ça ne serait pas assez grand pour faire effet robe, et il ne faudrait pas qu’elle lève les bras sinon bah ça cacherait plus grand-chose quoi.

- J’ai ça pour toi.

Souriant légèrement il ne peut s’empêcher de venir se lover contre elle une fois de plus, sa main se portant au bas de son dos, l’autre sur sa joue alors qu’il retourne l’embrasser sans se soucier de rien du tout. Il s’éloigne toutefois après s’etre mordillé la lèvre l’air confus, se gratouillant le front avant de s’avancer vers la salle de bain, ouvrant la porte pour montrer à la demoiselle ou se trouvé l’endroit ou elle pourrait se changer.

- Et, moi j’vais dormir de suite, parce que j’crois que j’vais pas tenir debout encore longtemps

Riant légèrement le jeune homme se dirige vers la chambre, adressant un sourire et un clin d’oeil a la femme au passage. Il se laisse simplement tomber sur le lit, et se glisse sous les couverture, éteignant la lumière.

Pendant le baiser, les mains de Gabriel vinrent se poser sur son dos calmement, ce qui l’approcha bien plus de lui. Son regard dans le sien, elle ne pouvait le quitter, c’était impossible pour elle. Dormir en sous-vêtement ne dérangeait pas Ayubi, elle avait l’habitude mais cela risquait de gêner Gabriel certainement. Elle lui sourit un petit moment, se mordant la lèvre à la fin du baiser, le provoquant légèrement du regard. Il allait lui chercher une chemise et vu la taille de Gabriel, la chemise allait lui arriver à la moitié de la cuisse, même pas, et cela ne lui déplaisait pas. Elle attendit simplement son retour avec impatience, le sentant se glisser à nouveau contre elle. Elle venait de voir une chemise blanche à la main, ce qui lui plaisait assez. L’embrassant tout en sentant les mains de Gabriel se faufiler dans son dos et sa joue, elle ne put s’empêcher d’intensifier légèrement le baiser.

Gabriel avait l’air un peu confus même s’il venait de se mordiller la lèvre après le baiser. Ayubi aussi avait eut le même réflexe et cela voulait bien dire qu’ils en voulaient encore. Mais lui montrant la salle de bain, Ayubi aurait voulu qu’il reste, malheureusement, Gabriel était fatigué et il partit se coucher, laissant Ayubi se changer tranquillement dans la salle de bain. Elle était bien décidée à ce dépêcher car s’il ne dormait pas, elle allait pouvoir se blottir contre lui. Enfin, c’est ce qu’elle espérait. C’est en le voyant s’étaler sur le lit qu’elle ferma la porte de la douche. Elle se regarda dans le miroir, heureuse d’avoir eut la chemise pour cacher une chose. Ayubi ne l’avait pas dit à Gabriel mais des marques de cicatrice au niveau du dos à Ayubi pouvait se voir. Elle était tombée sur le sol et le fait de l’avoir fait glissé sous lui, Marc venait de lui érafler le dos, ce qui brûlait légèrement Ayubi.

Enfin habillé, Ayubi posa ses vêtements sur le rebord du lavabo et sortit de la salle de bain, n’aimant pas trop parcourir l’appartement trop silencieux. Elle allumait toutes les lumières sur son passage et lorsqu’elle arriva à la porte de la chambre, elle ouvrit délicatement et doucement, elle se faufila sous la couverture. Sentant Gabriel de ses mains, elle se trouvait derrière lui et glissant ses mains de son ventre à son torse, Ayubi se colla contre lui, espérant qu’il ne dormait pas pour qu’il la prenne dans ses bras. Elle était tellement bien maintenant, serré contre lui, sentant sa chaleur envahir son corps et cette douceur incroyable.

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Allongé sur le flanc, en chien de fusil, le jeune homme ferme les yeux, cherchant le sommeil qui tarde a venir, il a même du mal a garder ses yeux fermés. Il attends patiemment, sans doute cherchant a savoir ce que pouvait bien faire la jeune femme a ce moment précis. La porte s’ouvre, et la jeune femme se glisse sur le lit, et sous les couverture, se collant derrière lui. Ses main venant se poser sur son torse, et son ventre. Il sourit légèrement ouvrant les yeux en grand, sa main se lève, et le voila qui se met d’abord sur le dos, passant sa main derrière son dos, pivotant de nouveau pour se retrouver sur le flanc, mais face à elle cette fois.

Ses lèvres viennent frôler les sienne, sa main libre se posant sur sa hanche, son nez se pressant contre le sien. L’autre main se resserrant autour d’elle pour qu’il puisse la sentir complètement contre lui. Son souffle chaud sur son visage, son parfum, son corps, ses formes collé contre lui, la sentir bouger a chaque respiration, sentir le moindre de ses mouvement, le moindre tremblement.

Une fois de plus, ses lèvre se collent aux sienne, avant douceur, sa main glissant sur sa hanche, remontant pour mieux redescendre, appliquant une caresse douce sur son flanc, l’autre main n’ayant pas trop de mouvement possible, il ne s’en soucie pas, se contentant de se tenir la, contre elle. Leurs lèvre s’éloigne finalement, et le jeune homme dépose une simple bise sur le bout de son nez, avant de plonger vers son épaule, il y appuyant sa tête afin de dormir simplement.

- Bonne nuit Ayubi….

Il n’a cependant pas le temps d’en dire plus qu’il ressert d’avantage son étreinte sur elle, laissant ses lèvre venir se déposer a plusieurs reprise sur son cou, sa joue, son oreille.

Ayubi était serrée contre le dos de Gabriel, sentant cette chaleur qui l’enivrait toujours autant. Elle adorait le sentir contre elle et se sentait tellement en sécurité de se trouver avec lui dans son appartement. De plus, elle trouvait cela vraiment ironique car normalement, ils avaient convenu qu’Ayubi n’irait pas dormir avec Gabriel à cause de la réaction qu’elle avait eut dans le bassin. D’ailleurs, elle n’était pas mécontente de s’être lancée car ainsi, elle pouvait se retrouver avec lui, dans le même lit sans aucune idée derrière la tête. Elle voulait simplement être dans ses bras et s’endormir avec comme seule pensée, qu’il ne soit pas un rêve. C’était ce qu’elle voulait, que Gabriel ne soit pas qu’une illusion, une machination de son imagination. Elle avait peur de s’endormir et de se réveiller toute seule dans sa chambre en comprenant qu’elle venait de rêver. Elle espérait que si jamais elle s’endormait, se serait dans ses bras qu’elle se réveillerait paisiblement, l’enlaçant et l’embrassant comme signe de bonjours et d’une nuit merveilleuse.

Sentant son corps bouger, Ayubi fut heureuse de savoir qu’il ne dormait pas ou était réveillé maintenant car elle aurait tellement aimé pouvoir l’embrasser encore pendant une petite partie de la nuit et sentir ses caresses, comme celles dans le sauna. Elle trouvait ses gestes envers elle tellement doux et délicat. Comme s’il touchait une poupée de cristal qui pouvait se briser au moindre faux pas. En tous cas, c’est face à elle et son bras autour de son corps qu’il se retrouva et qu’elle lui fit un doux sourire dans la pièce légèrement sombre mais tout de même éclairé par une pleine lune. Ayubi admirait son regard qui était d’autant plus beau lorsqu’il était éclairé par la lune. Son bleu azur ressortait bien plus, faisant danser une atmosphère apaisante et tellement agréable. C’était un vrai bonheur que de se trouver avec lui et non seule dans sa chambre. Elle adorait l’embrasser et goûter à ses lèvres qui vinrent toucher les siennes, tout en posant une main sur sa hanche et réduisant l’espace entre leur corps.

Elle aimait tellement ce doux contacte entre eux, le sentir contre elle et pouvoir s’enivrer de son parfum et s’envelopper dans ses bras si protecteurs et tellement rassurant. Leurs lèvres se séparant, un autre baisé vint remplacer le précédant et tout en sentant la main de Gabriel monter et redescendre le long de sa taille, Ayubi ne pouvait que se coller d’avantage contre lui, tout en faisant passer une pointe d’intensité dans leur baisé. Malheureusement, il se termina, le regardant s’éloigner légèrement d’elle. Elle eut un petit rire face à sa bise sur le nez d’Ayubi avant qu’il ne s’installe tranquillement sur son épaule avec un désir de dormir. Un « bonne nuit » vint se faire entendre car il était bien tard et les évènements de la journée les avaient exténués. Ayubi aussi était complètement épuisée par cette course entre Marc et elle, puis celle entre Gabriel et elle. Mais étrangement, elle sentait toujours les lèvres de Gabriel venir se déposer sur son cou, sa joue ou son oreille.

Fermant les yeux, elle se plongea dans la couverture pour regarder Gabriel droit dans les yeux. Elle posa sa main sur sa joue et l’embrassa tout en allant câliner sa langue avec la sienne. Ayubi ne savait pas ce qu’il désirait mais par un certain geste, elle allait tout de suite le savoir car tout en l’embrassant, elle s’allongea sur lui, laissant ses cheveux venir les déranger quelque peu. Arrêtant le baisé, elle le regarda droit dans les yeux et laissa alors ses cheveux longer son cou d’un seul côté pour ne plus les gêner. Après cela, elle l’embrassa à nouveau tout en commençant une danse endiablée entre leur langue qui en réclamaient bien plus.

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Et dire que Gabriel pensait passer une soirée habituellement trop calme, trop ennuyante, et trop en solitaire. D’abord, il avait faillit se noyer pour esquiver ce qu’il pensait être un adulte qui lui aurait cassé la tête, ensuite, il avait « barboté » dans l’eau en compagnie d’une demoiselle fort attrayante, cette même demoiselle qui avait décidé de partir, mais qui avait eut des ennuies en cours de route.

Et après la rencontre avec un pervers fous furieux, une course poursuite dans des vestiaires, dans les rues, après quelques paroles échanges, questions et autres, voila qu’il se retrouvait dans le même lit que la fille précédemment citée. Oui, les choses ne s’étaient pas déroulées comme Gabriel ce l’était imaginé. Oh bien entendu, c’était là quelques chose d’imprévue mais de fortement apprécié par sa personne.

Ainsi, leurs baisers s’additionnent, se suivent, là, collés l’uns a l’autre dans le lit. C’était trop tard pour que Gabriel arrête de toute façon, il faut dire qu’être en compagnie d’une si belle jeune femme dans un lit, ça motive pour les embrassades... Mais il est d’autant plus surpris qu’heureux de la sentir se coller d’avantage a lui, et s’allonger simplement sur lui, ne rompant le baiser qu’une infime seconde pour le reprendre dans la foulé.

Et le jeune homme ne peut cacher sa surprise, haussant un sourcil l’air interrogateur, il change bien vite de mimique en souriant légèrement venant mordiller les lèvres de la jeune femme, ses mains venant se poser dans le bas du dos de celle-ci. Leurs langues s’enlacent une fois de plus, dans un baiser plus fougueux que les autres. Leurs bouches s’éloignent et les lèvres du blondinet viennent se perdre dans le cou de la jeune femme, remontant finalement vers sa joue, puis vers son oreille, ou il vient mordiller son lobe avec doucement.

Ses mains remontent lentement dans son dos, ses pouces s’appuie plus que le reste de la main, afin de lui offrir une caresse appuyé, mais qui sans aucun doute flattera chaque muscle dorsaux. Et les mains redescendent, glissant sur les hanches, pour mieux remonter jusqu’aux omoplates, un nouveaux baiser s’ alors que les doigts du jeune homme viennent glisser dans le dos de la jeune femme, sous la chemise cette fois.

Sentant la surprise de Gabriel, Ayubi eut un petit sourire tout en l’embrassant. Elle continua tout de même à l’embrasser tout en mêlant leurs langues avec délicatesse et intensité. Elle adorait surprendre Gabriel car il avait encore beaucoup à apprendre d’elle, surtout en matière d’expérience dans un lit. Ayubi n’était pas une traînée, loin de là mais son corps lui permettait d’avoir pas mal de mec pour elle qui s’avérait être des salopards à la fin. Elle espérait de tout son être qu’il ne soit pas pareil et qu’en se réveillant, il sera toujours avec elle, qu’il n’allait pas partir en la laissant toute seule dans la chambre, histoire d’un soir. Elle était bien trop attachée à lui pour cela, elle ne voulait pas le perdre étrangement, malgré le peu de temps qu’ils se connaissaient.

Tout en l’embrassant et enlaçant leurs langues, elle sentit ses lèvres se reculer petit à petit pour sentir les lèvres de Gabriel longer son cou tout en remontant et mordillant son lobe. Ayubi se trouvait de plus en plus exciter par Gabriel, sentant une chaleur commencer à l’envahir. Les mains qui la parcouraient pardessus sa chemise la faisait frissonner de désir, le doux contacte et ferma à la fois la faisait trembler d’envi alors lorsque ses mains passèrent sous la chemise, Ayubi avait de plus en plus de mal à se retenir. Elle n’avait que sa culotte sous sa chemise et cela allait se faire sentir par Gabriel Allongé sur lui, elle se plaça alors à califourchon, rapprochant leur bassin avec intensité. Elle se courbait tel un félin, embrassant délicatement Gabriel et attrapant par moment sa lèvre inférieure tout en lui jetant un regard des plus provocant. Elle avait de plus en plus chaud mais il ne fallait pas le traiter comme les autres, il était différent pour elle. Elle voulait tout de même ne rien faire de mal et comme dans les sources chaudes, elle lui murmura d’une vois sensuelle :

- Tu veux qu’on le fasse ? Car tu connais maintenant mes envies mais surtout je ne veux pas aller trop vite si tu préfère me connaître un peu plus, je comprendrais… En tous cas moi, j’ai terriblement envie de toi et je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression de te connaître depuis des années…

Elle le provoquait du regard tout en passant sa langue sur les lèvres de Gabriel mais cette fois-ci, elle le laissa parler.

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Alors que leur caresses et leurs baisers se multiplie, le jeune homme se demande ce qu’il est entrain de faire, presque il aurait préféré la repoussé, simplement par respect d’elle-même, mais aussi pour ne pas avoir l’impression de profiter de sa faiblesse. Mais chaque acte qu’il fait ne peut se terminer ainsi pour lui, ainsi, une caresse ne peut qu’être prolongée, un baiser ne peut qu’être rendu plus fougueux.

Et puis, la jeune femme vint achever le tout en descendant un peu, et en se mettant a califourchon sur son, positionnant son bassin sur le sien, et le simple effleurement fut aussi brûlant qu’une bombe atomique, les joues brûlantes, la respiration presque haletante, le jeune homme parut étonné, surpris, délicieusement toutefois. Et lorsqu’un nouveau baiser s’ il ne peut s’empêcher de faire glisser ses mains plus haute dans le dos de la belle jeune femme. Dos qu’elle courbait de manière féline, s’appuyant plus encore sur lui, le rendant plus fou que fou.

Lorsqu’elle vient lui murmurer quelques mots au creux de l’oreille, il ne peut s’empêcher de sourire légèrement afin de répondre a la sensualité du timbre de voix employé, la tête brûlante, il ne peut que dire qu’il veut, et puis, qui aurait put refuser une occasion pareil, Ayubi était… parfaite non?

Ainsi, pour toute réponse, il lui rend un regard tout aussi provocateur que le sien, ses lèvres se refermant doucement sur sa langue, avant qu’une nouvelle embrassade fougueuse ne s’en suive. Rien a ajouter de plus pour dire qu’il voulait d’elle a ce moment précis. M’enfin, il choisis d’être plus explicite encore en se redressant d’abord, retirant son t-shirt, avant de se rallonger sur le dos. Et les mains habile du jeune blondinet ne purent s’empêcher de venir glisser le long des hanches de la jeune femme, remontant un peu la chemise pour caresser sa peau douce couleur pêche.

Lorsqu’il rompt le baiser, ce n’est que pour reprendre de l’air, et se relancer fougueusement dans un nouveau, plus fougueux encore. Ses mains reviennent le long de son dos, l’une fit demi tour, remontant pour retirer les deux premier boutons de la chemise de la jeune femme, avant de venir rejoindre l’autre, qui s’était sans honte posée sur les fesses parfaites de la jeune femme. Le simple contacte le rend d’ailleurs plus fiévreux encore. Et c’est avec fougue qu’il vient lui mordiller la gorge, alors que ses mains caresse et flatte l’arrière train de la belle brune

Sentant son cœur battre de plus en plus, la respiration d’Ayubi se faisait plus forte et désireuse que jamais. Gabriel le désirait autant qu’elle et ne pouvant alors plus se stopper, Ayubi continua de l’embrasser fougueusement avec plus d’ardeur qu’avant et étrangement, cette fois-ci, elle utilisa sa langue d’une manière excitante, embrassant bien mieux que d’habitude. Il ne le savait pas mais Ayubi gardait toujours ses compétences pour plus tard, afin de toujours surprendre encore plus et faire monter le désir. Elle savait s’y faire avec les hommes même si maintenant, après ce qui c’était passé, elle c’était vraiment calmée, comme si cela fut une punition pour son extravagance d’avant. En tous cas là, elle le faisait à nouveau, et ceux pour la première fois après celui qui l’avait quitté. Aucun mec à par Gabriel n’avait pu la toucher autant depuis quelques mois déjà. Cela était vraiment un pas qui montrait qu’il était spécial pour elle.

En tous cas, la fougue qui les envahissait et cette chaleur de désir intense qui les enveloppait petit à petit commençaient à régner dans la chambre. Le regard provocateur de Gabriel, aussi intense que le sien et l’embrassade terriblement fougueuse qui se produisait, cela faisait bouillir le corps tout entier d’Ayubi. Ce qui remplit encore plus de joie Ayubi fut lorsqu’il s’approcha son corps du sien pour retirer son tee-shirt avec l’aide d’Ayubi qui n’était pas contre. Ce qu’elle aurait aimé à ce moment là, c’était que Gabriel prenne les devants et passe sur elle pour avoir plus de facilité à enlever la chemise et faire glisser sa culotte le long de ses jambes. Mais il préféra se rallonger tout en faisant glisser ses mains sur les hanches d’Ayubi, ce qui la fit rapidement changer d’avis pour la suite. Elle trouvait cela bien plus excitant de sentir sa chemise se relever le long de son dos pour redescendre, mettant l’eau à la bouche de la demoiselle qui se demandait lorsqu’il allait lui enlever.

Leurs baisers se faisait que plus embraser à chaque nouveau contacte, comme si le fait de se séparer les rendait encore plus fou que jamais. Le moment se faisait de plus en plus intense, les mouvements involontaires de bassin face à l’excitation d’Ayubi ne faisaient qu’augmenter la puissance du désir et la violence de cette chaleur agréablement étouffante. Les mains glissant sur son dos la faisaient se rapprocher de plus en plus de Gabriel et sentant l’une d’elles passer devant pour retirer deux boutons de sa chemise, une incroyable ardeur l’a parcouru. Elle sentait son sang bouillonner dans ses veines au contacte de ses mains à ses fesses. Son cou se faisant mordiller avec envie, animait chez Ayubi une énergie incontrôlable. Alors, le regardant droit dans les yeux, elle se releva lentement, restant à califourchon, et déboutonna lentement sa chemise à l’aide des mains de Gabriel, dévoila sa poitrine nue à ses yeux. C’était à lui de prendre les choses en mains maintenant. La gêne n’était plus présente et maintenant, les choses sérieuses allaient bientôt commencer.

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Le baiser qu’offre Ayubi semble bien différent que les précèdent, comme si elle s’était appliqué a le rendre le mieux possible, chose qui ne manque pas d’étonner Gabriel, décidément, la belle brune ne faisait que ça, et c’était une bonne chose, au moins, il ne savait jamais a quoi s’attendre, mais a chaque fois, il savourait ce qu’elle lui offrait en plus. Ainsi donc, lorsqu’elle lui offrit se baiser, il sentit une nouvelle vague de chaleur l’envahir, comme si chaque caresse de sa langue faisait bouillir tout son corps. Et a mesure que le baiser s’enchaînait la sensation de chaleur grimpait, ce n’était plus ses joues qui semblait chauffer, mais bien son corps entier qui était devenu une sorte de brasier, animé simplement par la belle Ayubi.

Et puis, alors qu’il s’acharne a mordiller son cou, la jeune femme joint ses mains, et ouvre les dernier boutons de sa chemise avec lenteur, Gabriel recule la tête, regardant avec des yeux fiévreux le spectacle, chaque bouton semble être une nouvelle partie du rituel, qu’elle répète, jusqu’à ce que la chemise s’ouvre, laissant apparaître une poitrine parfaite, ni trop petit, ni trop grosse, parfaite, aguichante. Et sans hésiter le jeune homme se redresse une fois de plus, venant embrasser cette poitrine offerte, qui ne demandait que cela.

Ainsi, il s’atèle quelques seconde a mordiller, lécher, sucer et même embrasser ses tétons, remontant vers sa bouche l’embrassant avec envie, avec force, avec panache, lui faisant comprendre en un simple baiser, qu’elle allait passer une nuit plutôt agitée.

Sa main droite remonte, se logeant sur son sein, l’autre main glissant sur ses fesses, les caressant avec force et envie, pour finalement glisser le long de sa cuisse, passer a l’intérieur, et glisser lentement vers son intimité, sa main n’allant pas se faire si entreprenante toutefois, remonte et retourne se loger sur ses fesses qu’il malaxe, et puis, il se décide a passer a la vitesse supérieur d’un coup de rein puissant, il se retourne, se retrouvant sur Ayubi, son bassin appuyé sur le sien, lui glissant un léger sourire, il l’embrasse une fois de plus avec fougue, sa main ayant relâche son sein sert d’appuie, l’autre vient d’abord caresser son sexe a travers la culotte, et puis lentement, il retire son souventefois descendant a mesure que la culotte glisse le long de ses jambes, il suçote une fois de plus ses seins au passage, descend vers son nombril, qu’il caresse avec sa langue.
La culotte atteinte les cheville de la belle brune, sans hésiter le jeune vient lécher l’intimité de la jeune femme, laissant une main flatter son sein, l’autre aidant la langue a parcourir son intimité.

Les yeux de Gabriel la regardant avec désir, Ayubi déboutonnait lentement sa chemise pour le laisser saliver jusqu’à la fin. Elle était vraiment à bout et avait de plus en plus de mal à se retenir pour tout déchirer afin de se dépêcher. Le corps de Gabriel à moitié dévoilé devant elle lui donnait terriblement envie. Ses mains longeaient son torse et se pressaient avec sauvagerie mais délicatesse sur le bas ventre de ce dernier. Elle le désirait plus que tout surtout lorsqu’il se releva pour lui offrir un plaisir des plus chauds. Il commença à s’occuper de sa poitrine avec délice tout en lui offrant un choix de manière des plus explosifs, faisant passer les mains d’Ayubi dans son dos afin de laisser ses ongles glisser le long de sa nuque avec douceur mais passion. Elle comprit de suite que cette nuit n’allait pas être tranquille mais bien mouvementée, ce qu’elle appréciait agréablement.

C’est alors que remontant sa main qui se longea sur son sein, son autre main glissa sur ses fesses tout en les caressant avec force et envie avant de la glisser sur sa cuisse pour glisser lentement vers son intimité, faisant parcourir un souffle ardant sortant de ses lèvres. Gabriel savait réellement l’exciter et cela assez fortement. Déjà qu’il l’attirait comme jamais, le fait qu’il sache s’y faire comme elle désir, cela lui plaisait encore plus. C’est alors que lorsque sa main retourna sur ses fesses pour les savourer d’un toucher enlaçant, il décida, surprenant Ayubi, de la retourner d’un simple mouvement, se retrouvant sur elle, entre ses jambes, appuyant son bassin contre le sien, faisant monter la température comme jamais. Le sourire qu’il lui lança l’excita davantage et le baiser qui suivit fit de même. Le corps d’Ayubi se retrouvait d’une chaleur ardente puissante, elle ne supportait plus le contacte de son tissu et désirait uniquement sentir le corps de Gabriel qui touchait sa peau.

Sentant alors sa culotte glisser le long de ses jambes, Ayubi se détendit mais ses mains s’agrippa au drap. Tout doucement, les lèvres de Gabriel arriva alors à hauteur de sa poitrine, se stoppant un petit instant. Mais son chemin ne s’arrêta pas là, les lèvres de Gabriel continuèrent leur descente sur le corps d’Ayubi, accélérant de plus en plus sa respiration à l’idée de ce qu’il allait faire. Le cœur d’Ayubi se mettait à battre de plus en plus vite face à cette descente interminable. A ce moment là, les mains d’Ayubi serrèrent le drap qui se trouvait sous elle avec une force encore légère. Ses cuisses s’écartèrent de plus en plus l’une de l’autre, sentant la culotte à ses chevilles maintenant et le contacte avec ses lèvres et sa langue à son nombril, non loin de son intimité la faisait crisper le bout de ses pieds sous le plaisir qui venait et qui se faisait déjà. Sentant alors le contacte de sa langue sur son intimité, un souffle assez puissant s’échappa de ses lèvres et son corps tout entier se crispa légèrement, courbant son dos par la puissance du plaisir. Elle se mordait la lèvre inférieure sous le désir qu’il lui procurait et ses yeux se fermaient avec le plaisir. Un petit gémissement se fit légèrement entendre face à ce délice merveilleux qui brûlait la peau d’Ayubi.

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Une chose était sûre, Gabriel, et sans doute Ayubi, n’étaient pas prêt d’oublier ce qui allait se passer cette nuit, le climat brûlant, sauvage, mais pourtant délicieux qui régnait, l’attirance puissante qui les unissait et les forcé a céder la chaleur qu’éprouvaient leurs deux corps envieux l’uns de l’autres, et la soirée ne faisait que commencer pour eux en plus de cela.

Ainsi, alors qu’il flatté sa poitrine, il eut le droit a une légère griffure dans le dos, qui le motiva a continuer plus encore ce qu’il faisait. Et puis, a son tour, il la surprend, en la retournant, se callant sur elle pour l’embrasser une nouvelle fois, et entamer sa descente vers le début du plaisir de la belle brune. Ainsi, il parvient a faire durer la descente assez longtemps, flattant tout ce qu’il pouvait flatter sur le chemin. Et puis, alors que la culotte est définitivement retirée, le jeune homme s’atèle a une tache bien plus délicate.

Ainsi, sa langue parcourt habillement l’intimité de la belle étudiante, une langue qui semble experte, et qui parcourt le sexe d’Ayubi avec précision, passant entre les deux lèvres intime flattant finalement le clitoris, et elle n’est pas insensible a cela, comme peut le constater Gabriel qui l’entend d’abord souffler, puis qui la sent se contracter, se courber sous les caresses. Et puis, elle gémit même, signe qu’il faisait bien son job.

Bien vite, la main qui ne faisait que caresser devint plus entreprenante, et l’index vint, avec douceur, entrer dans le sexe de la jeune femme, pour finalement aller et venir, dans le but de lui faire plaisir, et de lui faire débuter son ascension pour le septième ciel, parce qu’il le promettait ce soir, elle passerait une grand partie de la nuit avec les anges ^^.

Ainsi, il continue ses actes durant quelques bonnes minute, variant sans cesses ses manières, afin qu’elle ne sois pas habitué a une seule manière de faire, et qu’elle ne puisse se reposer. Et finalement, le voila qui remonte lentement, glissant sa langue sur tout son cors, flattant le nombril, ses seins, et pour revenir l’embrasser avec fougue,

Ayubi resta des plus agréablement surprise face à Gabriel qui lui donnait un plaisir incalculable. Il poussait le vice de l’acte jusqu’au bout, allant jusqu’à faire gémir de plaisir la douce demoiselle. Généralement, Ayubi avait simplement une respiration plus rapide mais étrangement, Gabriel devait s’y connaître. Elle sentait bien qu’elle allait passer une soirée inoubliable. Elle salivait de plaisir à l’idée de ce qu’il allait lui réserver comme suite de ce délice. La nuit allait être longue au grand plaisir d’Ayubi. Elle voulait réellement qu’il continu sur sa lancé car là, il commençait déjà à lui montrer un talent qui lui faisait plus que désirer la suite. Ce fut un vrai supplice lorsqu’elle sentit l’index de Gabriel pénétrer son vagin avec douceur. Mais les mouvements qui suivirent furent des plus révélateur pour Ayubi et elle désirait réellement commencer les choses sérieuses.

Après quelques minutes, Gabriel remonta lentement vers les lèvres d’Ayubi, continuant à la tenter dans son ascension torride. Mais ne voulant pas qu’il remonte avec ce qu’il lui restait, Ayubi passa ses jambes autour de la taille de Gabriel et passant ses pieds délicatement dans son caleçon, elle le fit glisser le long de ses jambes en même temps que les siennes et son ascension vers ses lèvres. Le baiser fougueux la fit se détendre tout en laissant sentir entre ses cuisses la chaleur de l’intimité de Gabriel. Ayubi passa une main au-dessus de sa tête pour serrer le cousin qui se trouvait non loin d’elle mais elle ne resta pas longtemps là et partie dans les cheveux de Gabriel pour les lui caresser avec passion tout en le collant d’avantage contre elle de son autre main, placé sur le bas de son dos, non loin de ses fesses.

Le regardant droit dans les yeux, elle lui fit comprendre qu’elle pouvait elle aussi lui donner du plaisir s’il le désirait ou alors il pouvait commencer. Ayubi savait très bien jouer de sa langue et cela, Gabriel s’en était rendu compte pendant les baisers langoureux. Elle le désirait de plus en plus et sachant qu’elle allait passer ce moment unique avec lui, elle espérait qu’il ne la laisserait pas le lendemain.

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Lorsqu’il remonte pour gouter une fois de plus au gout des lèvres de la belle brune aux yeux émeraude, le jeune homme sent les jambes de celle-ci s’enrouler autour de son bassin, et puis sans même comprendre comment, son caleçon glisse le long de ses fesses. Oh cela ne l’empêche pas de venir offrir un baiser brûlant à la jeune femme, collant sa virilité contre elle, lui faisant comprendre a quel point il la désire ce soir. Ses baisers sont aussi passionné que le feux qui brûle en lui, aussi fort que l’envie qu’il éprouve pour elle.

Ainsi, lorsqu’elle lui jette un regard qui lui fait clairement comprendre qu’il a les cartes en mains, le jeune homme soupire légèrement se repositionnant mieux sur elle, une main caressant simplement sa joue, l’autre venant caresser ses seins, avant de glisser le long de son ventre, passant finalement le long de sa cuisse, jusqu’au genou, avant de remonter, et de passer a l’intérieur de sa cuisse, flattant de nouveau l’intimité brûlante de la belle brune.

Venant lui suçoter la lèvre quelques instants, le jeune blondinet lui fait comprendre qu’ils ont toute la nuit, et que maintenant, il veut simplement assouvir son envie, celle qu’elle lui a casé profondément dans la tête, il la veut, il la désire, et il la prendra tout de suite, ils verraient une fois que cela serait fait.
Ainsi, c’est avec fougue qu’il vient lui embrasser la gorge, mordre sa peau, glissant des baisers jusqu’au sa poitrine qu’il couvre de léchouille et d’embrassade, s’attelant sur les deux tétons durcis par le désir, avant de remonter l’embrasser a pleine bouche.

Et puis finalement, il se redresse légèrement présentant son sexe devant le sien, relevant la tête pour mieux la voir, voir comment elle réagirait, sa main se calle derrière sa cuisse, proche de ses fesses, l’autre prenant appuie a coté de la tête de la belle brune, afin de garder un certain équilibre et de ne pas l’écrase (lol ).

Et avec douceur, il fait entrer son sexe tendu par l’envie dans le sien, ne pouvant retenir un long soupire alors que son imposant membre entrait en douceur dans l’intimité brûlante d’Ayubi, savourant le contact des paroi vaginal sur son sexe. Et a peine s’est-il confortablement introduit en elle qu’il entame un rythme déjà soutenu, faisant déjà grincé les pauvre ressort du matelat.

Ayubi posa ses yeux sur Gabriel avec un regard des plus amoureux et provocateur en même temps et un petit sourire pour lui montrer qu’elle se sentait bien et qu’il faisait les choses à la perfection. Sentant alors ses mains la caresser, l’une vint se poser sur sa joue pour la câliner tendit que l’autre resta sur sa poitrine ; mais elle commença à glisser le long du ventre d’Ayubi, faisant sentir sa respiration rapide, puis continuant le long de sa cuisse qui s’écarta lentement, jusqu’à son genou pour redescendre à l’intérieur de sa cuisse. Un souffle saccadé se fit entendre lorsqu’il passa sur son intimité comme toute expiration venant des lèvres d’Ayubi qui se mêlait à leur baiser. Un baiser des plus embrasés, donnant l’eau à la bouche d’Ayubi qui ne pouvait se passer des lèvres de son partenaire. Elle comprit alors ce qu’il voulait lui faire comprendre. Ils avaient toute la nuit devant eux et cela ne déplaisait pas à Ayubi, surtout qu’elle le désirait autant qu’il la désirait et cette envie qu’ils partagèrent était bien plus puissante maintenant.

Avec une fougue des plus excitante, Gabriel vient embrasser et mordre le cou d’Ayubi, tel un vampire assoiffé de sang. Ses lèvres descendirent le long de sa poitrine, s’arrêtant un petit instant pour s’en occuper, couvrant cette dernière d’embrassade et de sa langue, durcissant par le désir et l’excitation, les tétons d’Ayubi qu’il ne tarda pas à flatter. Il remonta alors à ses lèvres pour l’embrasser avec une passion devenant de plus en plus bestial, faisant monter cette chaleur ardente entre eux et ce désir naissant de plus en plus.

C’est alors qu’il se redressa légèrement, commençant à se placer et admirant Ayubi qui lui fit un doux sourire. Sa poitrine montait et descendait face à la forte respiration d’Ayubi et son cœur battant follement. La main de Gabriel glissa alors derrière sa cuisse, non loin de ses fesses tendit que l’autre se plaça proche de la tête d’Ayubi pour prendre appuie. Elle ne pouvait détacher son regard de celui de Gabriel, s’enivrant de son charme avant qu’il ne commence. L’attente devient insoutenable et posant sa main dans le haut du dos de Gabriel tendit que l’autre se plaça sur le bas de son dos, laissant ses doigts glisser sur les fesses de son amant (à prendre dans l’ancien sens du mot), Ayubi ferma délicatement ses yeux, basculant légèrement sa tête en arrière et ses lèvres s’entrouvrirent pour laisser échapper un souffle légèrement bruyant face à la pénétration douce mains imposantes que lui offrait Gabriel. Ses mains se crispèrent légèrement sur la peau du jeune homme, devenu humide comme la sienne, à cause de cette chaleur qui les enivrait.

Sentir son pénis pénétrer son vagin lui provoquait une émotion des plus douces et agréables, la faisant gémir de plaisir. Elle sentait ce doux objet longer son intimité et lui faire monter en elle une chaleur encore plus forte que la pénétration de ses doigts ou de sa langue. Et c’est alors que commença l’intensité de ce moment incroyablement excitant. Gabriel commence alors à pénétrer de nouveau Ayubi d’un rythme déjà assez soutenu, faisant gémir Ayubi à chacune d’elle et commençant à faire grincer le lit. Ayubi ne s’attendait pas à un tel rythme aussi rapidement mais cela ne lui déplaisait pas. Elle sentait le corps de Gabriel se frotter contre le sien, faisant crisper encore plus ses mains et glisser ses ongles sur sa peau ardente. La respiration d’Ayubi était régulière mais bien plus importante et intense, accompagnant à chaque expiration un gémissement des plus embrasant.

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Les doigts sur ses fesses ne sont qu’une motivations de plus, un moyen de rendre plus fou encore d’envie, plus brûlant de désir, la flamme était partis, et elle semblait bien fière a cet instant, difficile a éteindre, oui, la nuit serait longue, très longue, mais tellement plaisante, tellement… tellement tout, Ayubi avait réussis a rendre Gabriel presque fou, chaque souffle dans son coup, chaque friction entre leur corps, chaque mouvements, effleurement ne faisait qu’attiser son envie d’elle.

Alors, lorsqu’il va en elle, il ne peut que savourer comme jamais la douce brûlure qui lui chauffe le visage, et les voila partis sur la longue route du plaisirs, guidés par des coup de reins experts, jamais semblables, quoique la cadence était la même, il varié, choisissant l’idée qu’Ayubi ne devait pas s’attendre a ce qu’il se répète, oui, ce qu’il voulait, s’était la surprendre chaque seconde, mais bien sûr en lui offrant de plus en plus de plaisir.

Les ressort grinces, mais qu’importe, tant qu’ils sont bien, sentant la jeune femme sous lui, presque a sa merci ne peut que le rendre fou de désir, et c’est avec une fougue presque folle qu’il vient voler ses lèvre,s lui offrant un baiser si brûlant qu’il en était sûrement le meilleur de la soirée, une pointe de bestialité, de force, mais tant de tendresse dans une embrassade que c’était rare.

Alors il continua sur sa lancée, allant et venant en elle, chaque friction de leur corps faisant accélérer le mouvement, chaque soupire, chaque gémissement ne faisant que donner envie d’aller plus vite, d’aller plus loin, d’aller plus fort en elle, oh Gabriel n’était pas une brute, et il n’était pas entrain de d’agir de la sorte, simplement, pour ce début, il lui faisait bien comprendre toute l’envie qu’il avait d’elle, laissant ses baisers glisser sur sa joue une fois de plus, il vole ses lèvres avec fougue, et enchaîne une série de bourrasque violente et profonde en elle, assez puissante pour lui montrer l’ampleur de ses capacités.

Cela venait enfin de débuter et Ayubi ne pouvait que savourer pleinement ce qu’elle vivait. Il venait de pénétrer en elle avec une douceur folle et une délicatesse renversante. De plus, continuant ses va et vient, Ayubi dégustait cette chaleur qui l’envahissait et la projetait dans des sensations inexplicables, indescriptibles. Aucun mot ne pouvait décrire ce moment, cette sensation d’ivresse qui l’envoûtait petit à petit. Chaque pénétration était différente, jamais les mêmes, toujours à la même cadence mais étrangement portant et donnant des sensations variées à Ayubi. C’était un véritable délice qu’elle avait le droit et jamais elle ne voulait qu’il s’arrête. C’était tellement bon qu’elle ne voulait pas laisser Gabriel partir. Elle le voulait contre sa peau, sentir son souffle glisser sur son corps et ses mains la caresser comme il savait si bien le faire.

C’est dans une fougue impressionnante qu’il vient dévorer ses lèvres, lui offrant un baiser des plus brûlant et ardent. Le genre de baiser qui vient du cœur et qui ne se commende pas, qui se donne avec toute la passion qui nous anime et nous dévore. C’était le meilleur qu’il est put lui offrir et ne voulant qu’il s’arrête, elle le prolongea jusqu’à ne plus avoir assez d’air pour le lâcher. Il était tellement délicieux, tellement unique qu’elle ne voulait pas le perdre. Ce baiser était des plus féroces et sauvages mais cette pointe de passion et de tendresse venait couronner le tous en un baiser de roi. Un baiser pareil était tellement rare car seul un lien particulier et un sentiment des plus fous pouvaient l’animer. Une pointe de peur surgit, elle ne devait pas car s’il tenait à elle c’était une bonne chose… Le problème était que si jamais elle s’attachait trop à un homme, comme maintenant, elle avait tendance à le repousser et elle ne voulait pas que cela arrive avec Gabriel.

Mais le mouvement ne c’était pas arrêté et lui procurant tellement de sensation, Ayubi gémissait de plus en plus fortement, laissant ses ongles câliner comme une féline la peau humide de son amour. Les mouvements étaient un tel supplice de plaisir que la chambre en était embaumée. A eux deux, ils formaient une bulle de plaisir et de désir intense, formant dans la pièce une buée de chaleur émanant de leurs corps affamés et appâtés par le plaisir. Plus profondément, plus rapidement, plus fortement, voilà ce qu’était devenu les pénétrations, un désir sauvage et une excitation purement féroce. Ayubi ne pouvait se contenir et se laissant aller, des gémissements des plus audibles retentir, contractant légèrement ses doigts et mêlant ses jambes à celle de Gabriel. Il lui offrait un tel parfum de désir, une telle passion qu’elle en devenait comblée. Il lui montrait pleinement ses capacités et cela ne faisaient qu’augmenter le désir d’Ayubi, surtout lorsqu’il commença des pénétrations dignes des dieux, embrassant comme un roi sa princesse.

Voulant lui donner bien plus de plaisir, Ayubi contracta son vagin légèrement et laissa sa main descendre à nouveau sur les fesses de son amour pour les lui caresser et en même temps sentir ce mouvement bestial qui animait ses gémissements et l’ardeur de Gabriel. C’était tellement incroyable. Pour Ayubi, c’était la première fois qu’un homme lui procurait autant de plaisir.

» Mumures Sombre